LE CORPS DES FEMMES A L’EPREUVE DU CANCER DU SEIN

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Peut-on parler de cancer sans parler de la mort? Nous sommes en octobre et c’est le mois de la sensibilisation sur le cancer du sein, un mal qui atteint toujours plus de femmes. On nous reparle de l’importance du dépistage et de l’autopalpation du sein. Si on se dépiste très tôt, meilleur est le pronostic, meilleurs sont les traitements… nous disent les spécialistes. L’objectif de cette politique publique de santé est de réduire la mortalité, la lourdeur et les séquelles des traitements, avec un dépistage précoce.

Il est donc recommandé d’avoir un avis médical dès que l’on repère une anomalie : une boule dans un sein, des ganglions durs au niveau de l’aisselle, des modifications de la peau du sein et des mamelons, etc. Les cellules cancéreuses dites « métastases » peuvent migrer ailleurs dans le corps. Ces métastases peuvent dangereusement se loger dans le foie, les poumons, les os, le cerveau et la peau. De fait, elles peuvent perturber le fonctionnement normal de ces organes.

L’examen permettant le dépistage du cancer du sein est une mammographie (radiographie des seins), complétée par un entretien médical et une palpation des seins. Aujourd’hui, ces examens sont pris en charge à 100 %  par l’assurance maladie et se font sans avance pour les femmes dans certains pays développés. Mais le dispositif reste insuffisant. Les réticences persistent pour les femmes quant à leur participation à des tests de dépistage : peur de la douleur, appréhension de la mammographie, peur des rayons diffusés…

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